Toutes ces coutures, IV / Elena Andreyev

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Sans les vapeurs d’alcool

Maintenant expressive

Je vois mademoiselle

Bouder

Cerclée, maintenue

Décompose-t-elle l’humeur en tercets

Ne pas se distraire

De l’autre côté d’ici on envie ceux du rythme.

Minute après minute aux chevilles du sens et de vos mains

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– Bonté ?  Pourriez-vous m’écrire cette page complexe ?

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Examen

Maintenant, et tout le temps

Belle, peinte crème sur blanc

Lignes à vous faire douter du déhanchement

Léger gauche droite avec la tête en entrant – maelström

Voiles réglées dans l’écho

Personne ?

Bravo. En route. Sombre et gai : c’est l’aventure.

Bicyclette, clous : grille encore

Mélodie lambeaux mélodie

Ce sont des rayons, leur son est à nous

En route. Dévers. Gaieté.

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– vous ! une partie ?

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Plissons les oreilles les enfants rient à chaque fois

Repeindre et rire encore,

Persée saisi dans sa chute : ça vient,

Nous irons là.

J’entends guerroyer, c’est

autour n’assourdissant rien : compression secours

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– in good time .

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Seconde peau marbre supplémentaire d’amour

Back to those whispering bushes, friend, back

Reprise travail avec vue

élégance  outil

nécéssaire

Travailler debout, mains debout  le reste

Plus que voir, y travailler :

Effraction, trois fois, pieds, feuilles bruissantes et fatigue,

Fuite intelligente juste à temps victoire

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Sûre, fière, feu et fer d’une seule  main – any pretty trees around here ?

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Until a gentler bird

through  brassy wind lifts

the  deep to its nest.

Effort –   briller, alléger  – Essor

Sortie toujours pas de campagne

: et si le monde is brittle and the world

sa campagne (verdure, pas russie)

est friable

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– le goût du délit,  si la flèche s’ôte ?

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des battements.

pour personne. enfin .

dans l’air.

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